Episode 9 : Sans modération
Bah, pourquoi tu t'es relevée ? Et qu'est ce qu'il fout là, lui, encore ?
Riley (chuchote) : J'ai une soudaine confiance en moi tout à coup.
Oui, enfin, comme d'habitude et en général c'est pas trop ça, hein.
Riley : Je pense que c'était un mal entendue tout à l'heure.
Kai : Oui, oui ... Je pense aussi. Tu ... Tu as changé quelque chose ?
Riley : Pas du tout, pourquoi ? Oh c'est peut être la lumière qui éclaire mon visage. Tu te rend soudain compte de la femme que tu laisses passer, c'est ça ?
Kai : Oui...
Quoi ? Mais je croyais ...
Mais comment t'as fait ?
Riley (chuchote) : C'est un secret !
Riley : Oh, c'est génial, un beau goss pour moi cette nuit. Tu m'emmène dans la salle de bain j'ai envie de prendre une douche !
Kai : Bien sur, ma princesse !
Kai : Tu es sûre ? Non parce que je sais pas, peut être qu'on peut attendre. Je peux plaquer ma femme pour toi si tu veux, avant.
Riley : Non, je m'en fout ! C'est juste pour ce soir, ça me suffira !
Hum... Je dérange pas trop ? Non parce que j'aimerai bien savoir ce que tu fais ...
Riley (chuchote) : Je m'éclate ! Non parce que franchement, je veux être libre. Et tu vois ce que je viens de faire, j'ai trop envie de recommencer ! Je sens le pouvoir que j'ai sur les hommes. Ils ne peuvent pas résister à ma beauté. Je le savais, je te l'avais dis.
Ok, bon, comme tu l'as dans la poche lui, on pourrait peut être augmenter le nombre des victimes, non ?
Et de 15.
Kai : On va se coucher.
Riley : Euh non, toi tu rentres chez toi.
Kai : D'accord. On s'appelle ?
Riley : Non, c'est bon. Je n'ai plus besoin de toi !
Il est content en plus.
Riley : Oh, j'ai un peu de sang sur les dents.
Ca ne te dérange pas ce que tu viens de faire ?
Riley : Non, pourquoi ?
Ah ... bah ça m'étonne pas de toute façon avec ton égaux surdimensionné.
Riley : Quoi ?
Non rien. C'était bien ? Tu vas le rappeler ?
Riley : Pff, lui ? C'est ce que j'appelleun "homme jetable". Tu t'en sers une fois et après tu passes à autre chose !
Riley : Pas bien, vilain cleps ! Faut pas bouffer le tapis ! Sinon j'en refais un avec tes poils !
Woooh parle pas au chien comme ça, OK ?
Riley : Mais ...
NON ! J'ai dis NON ! Maintenant tu lui dis pardon et tu lui fais un bisou.
Riley : Mais ...
TU LUI FAIS UN BISOU, OK ?
T'inquiètes pas mon p'tit, si elle te touche je referai le tapis avec ses cheveux.
Riley : Pardon, Jump.
Regarde, tu vois il t'aime bien.
Riley : ... Je dois vraiment faire le bisou ?
Oui.
Riley : Mais je risque d'avoir une infection des lèvre, c'est sale, un chien.
Roh, avec tes infections tu me pompes l'air, dis donc !
Où est-ce que tu vas ?
Riley : Chez Wogan Hemlock.
Et pourquoi ?
Riley : Je suis à la recherche d'un autre homme jetable.
Riley : Bonjour, ça va.
Wogan : Bon-Bonjour. Que me vaut l'honneur de votre visite.
Riley : Oh, ça te le sauras bientôt. Viens chez moi parce que je pense qu'ici, ça risquerait de déranger ta femme !
Alors ?
Riley : Bah je sais pas, on s'est perdu en route. Bon tant pis, j'appelle une valeur sure : Béranger.
Riley : Quoi ? Comment ça tu veux pas venir ? Non mais on me la fait pas à moi, ça ! Tu veux pas venir ? Même si c'est juste pour m'admirer ? Pff...
Riley (chuchote) : Finalement je suis sortie dans un bar, j'ai un peu faim.
Riley (chuchote) : Lui, parfait !
Cible verrouillée.
Riley : Bonjour, je me présente, je suis Riley mais vous me connaissez, non ?
Ronan : Oh non, je ne vous connais pas mais je devrais être punie pour ça ! Vous êtes si belle.
Riley (chuchote) : C'est bon d'être reconnue à sa juste valeur.
Ouais m'enfin ... Hé, c'est peut être grâce à moi, avec mon relooking.
Riley : Ah bon ? Tu veux que je te punisse, moi ?
Riley : J'ai une petite soif, d'abord.
Grouille, si tu veux le "châtier", c'est bientôt l'heure de la fermeture.
Et bah voilà, tu repars bredouille espèce de boulette.
Riley : Je ne suis pas une boulette, ok ? D'ailleurs j'en aurai moins l'air si tu m'achetais une crème pour les chevilles.
Mais tu ne comprend pas, alors ?
Riley : Comprendre quoi ? Heureusement que mes chevilles sont pas à la place de ma tête sinon on ne verrait qu'elles dans le magasine.
Bon, pour la dernière fois, il n'y a AUCUN magasine. Ensuite, si, je pense que d'une certaine façon, tout le monde les voit, tes chevilles.
Riley : Mais c'est horrible, ça va nuire à ma réputation ! Fais quelque chose !
Va te coucher, on en reparlera.
Alors, qu'est ce que tu fais ?
Riley : J'envois un message à Béranger, peut être qu'il va vouloir venir.
Ah bon, tu crois. Et si il apprend ton histoire d'"homme jetable" tu crois qu'il voudra encore te voir ?
Riley : Lui, c'est pas un homme jetable...
Aaaah, des sentiments ?
Riley : Pas du tout, c'est juste le meilleur.
En quoi ?
Riley : T'aimerai pas que je le dise devant les lecteurs...
Bon, ça va, on a tous compris. Tu dois avoir les hormones en ébullition.
Tient, le voilà.
Riley : Bonjour mon beau !
Béranger : Coucou, toi. Lilly est absente aujourd'hui, je vais pouvoir rester.
Riley : Ah cool ... Et comment tu trouves mon nouveau style ?
Béranger : Génial !
Riley : Cool alors ! J'ai eu une super idée alors !
Genre.
Riley : Allez, vient, on se prend en photo pour éternisée ma beauté.
Et allez, on peut pas lui en vouloir de toute façon ... Tient ça me fait penser qu'un lecteur à dit que tu étais plus modeste ... Tu te rattrapes, alors.
Vous êtes nus et au soleil.
Riley : Et ?
Vous êtes des vampires, vous avez oubliez bande de pigeons ?
Riley : Ah oui ...
C'est mignon tout ça.
Bah tient, il se casse ?
Riley : Ouais, la sorcière lui tape une crise au téléphone car elle est rentrée plus tôt.
Y'a un truc que je comprend pas. Elle le sait pourtant qu'il la trompe ...
Riley : Oui, mais bon, moche comme elle est, elle a pas intérêt à le plaquer sinon elle en trouvera aucun autre.
Il est un peu con, lui aussi...
Ah, 16 victimes ! Comment ça se fait ?
Riley (chuchote) : Bah tu te souviens, j'avais déjà mordu un videur. Bah ça a fait le tour et quand lui m'a vu, il m'a demandé.
Ah et du coup il te laisse entrer.
Riley : Lui, homme jetable.
D'accord, d'accord.
Riley : Salut toi. C'est quoi ton p'tit nom ?
Ebenezer : Ebenezer Clavier, et toi, poupée ?
La vache, il se tape un de ces nom, lui.
Riley : Riley Williams, enfin ! Tout le monde me connaît.
Et non, avec 1 étoile de célébrité, tu vas pas aller loin.
Riley : J'ai une petite soif, tu me permets ?
Ebenezer : Oui, vas-y, je ne peux rien te refuser de toute façon, belle.
Qu'est ce que tu fais ?
Riley (chuchote) : Je vais boire un petit coup parce que là, ça va pas le faire. Son nom, vraiment ... C'est moche !
Ah parce que maintenant tu juges au nom aussi ?
Riley (chuchote) : Oui, c'est primordial !
"Béranger", c'est pas mieux ...
Riley : Non mais qu'elle faute de goût ! Vous vous croyez où, là ? On s'habille classe quand on vient ici, ok ?! Je devrais vous coller une amende !
Calme toi, c'est bon ...
Riley (chuchote) : Non mais ça m'énerve les gens moches comme ça !
Huuum, il est pas mal avec sa fléchette, lui !
Riley : Hé ... Ebe... Merde c'est quoi son nom déjà ? Bon pas grave, He Beuhbeuh !
"Beuhbeuh ?"
Riley (chuchote) : On s'en fout ! Homme jetable, je t'ai dis !
T'avais pas l'air de t'en foutre tout à l'heure !
Riley : Vient faire mumuse avec moi dans l'ascenseur !
Riley (chuchote) : Hé, pas de photos avec les hommes jetables ! Faudrait pas qu'on me voit avec ... ça !
Trop tard !
Riley : J'ai les hommes à mes pied, j'ai les hommes à mes pieds !
Dodo. J'espère que tu seras un peu plus calme demain.
Riley : Ah, déjà le matin ? Oh j'ai une de ces envie de voir Béranger, moi.
Eh bah non, tu t'es pas calmé...
Riley : Béranger, me voilà !
La sorcière est là...
George : Au revoir petite beauté ! Huuum, bon p'tit cul, celle là.
Euh ?
Riley (chuchote) : Je sais pas qui c'est ... Il a pas arrêté de me mater dans l'ascenceur...
Ah, mais c'est génial d'avoir les hommes à ses pieds, non ?
Riley (chuchote) : Oh mon dieu, mais c'est un vieux, tu te rends compte ? Je me suis faite draguée par un vieux ! Horrible, c'est horrible ! Je vais vomir.
Oh bah tient, ils habitent dans ton ancien appart', j'avais même pas remarqué.
En parlant de vieux ... Riley ! La sorcière est vieille !
Riley : Wouuuuhouuuu !
Riley : Béranger, Béranger ! Debout.
Béranger : Ah, Riley, salut , beauté !
Euh, c'est pas comme si ta femme était là, du con !
Elle a l'air absorbée ... vraiment... Bon on peut pas lui en vouloir, à cet âge là elle doit plus trop avoir de réflexion.
Ah bah si.
Lilly-Bo : Béranger ! Que tu me trompes c'est une chose mais devant moi je n'accepte pas !
Riley : Hé la vieille, vient on va régler ça en bas !
Oh oui ! BASTON !
Riley : Ecoute, vieille peau, ne te mèle pas de ça ! Va faire tes courses, c'est le jour du marché, aujourd'hui.
Lilly-Bo : Riley Williams ! On s'était déjà croisé, j'aurai du vous tuer ce jour là.
Riley : Et toi on devrais te brûler pour ton énorme faute de goût, vieille peau ! Ca va pas de sortir en peignoir de grand-mère ?!
Riley : Tu es sûre d'être la femme de Béranger ? On dirait sa mémé.
Roh, t'es méchante quand même...
Béranger : Alors ?
Riley : Ca va, on est tranquiles ! Je pense qu'elle va partir faire les courses en pyjama. Tu sais, elle doit être malade. A ta place j'en aurais peur, la cuisine, avec tous ces couteaux, n'est vraiment loin de votre chambre.
Et c'est repartis ...